Une compagnie qui crée des univers dans lesquels les tout-petits et leurs parents peuvent venir voir, écouter, découvrir, goûter et ressentir. De Spiegel fait de l’art sous toutes ses formes pour les tout-petits. Entre musique, théâtre, images, objets, danse et technologie, elle invite à explorer de nouveaux mondes, voir, écouter et jouer autrement. De Spiegel stimule la curiosité, l’émerveillement et le sens de l’aventure des enfants et des adultes, qui regardent et écoutent, goûtent et ressentent ensemble. La compagnie est toujours en quête de nouveaux lieux, de sources d’inspiration inconnues, du surprenant dans le reconnaissable. ImpulZ est un spectacle de danse interactif avec le public aux commandes et un danseur et un ingénieur du son sur scène. Ils ne pourront agir qu’à partir des impulsions données par les enfants en appuyant sur un bouton. Ces impulsions déclenchent de la musique, en actionnant des instruments à distance. Un spectacle
audacieux et amusant pour les enfants de 1 à 4 ans.
Sococoon se veut être un lieu privilégié d’exploration et de partage pour les tout-petits où la douceur et la poésie sont seules guides. Sococoon est une véritable expérience interactive qui propose aux bébés d’expérimenter de douces sensations, d’éveiller leurs sens et d’explorer des textures, des sons, des couleurs et des odeurs. Plus encore qu’un simple parcours ludique, cet espace sensoriel tout en poésie est pour eux une bulle de découverte et d’exploration. Parsemé d’une multitude d’étoffes et de matières, l’univers cotonneux de Sococoon aiguise et stimule les sens de l’enfant. Le toucher, l’ouïe ou la vue sont constamment en éveil dans ce cocon qui répond aux différents stades de développement du bébé jusqu’à deux ans. Il offre aussi de beaux moments de partage et de complicité entre l’enfant et l’accompagnant (parents, assistants maternels, éducateurs…). Artiste et plasticienne, Soco, la conceptrice et interprète du spectacle, propose une forme de première initiation au spectacle vivant.
Avec In Situ, Jann Gallois pousse les murs et s’infiltre dans la ville pour nous offrir un moment hors de notre quotidien, une danse qui s’installe sous forme de jeu et défie les contraintes. Comment partager la danse ? Comment associer le public, le large public, à des situations de danse ? Pour beaucoup c’est impossible, la danse supposerait une grande technicité, et ne serait pas à la portée de tout un chacun·ne. C’est à cette problématique que Jann Gallois a voulu se confronter. Avec cette première pièce de la compagnie pour l’espace public, Jann Gallois descend du plateau pour interroger la question de la place et du rôle. Tour à tour manipulateurs/manipulatrices, chacun·e expérimente et questionne la justesse et la pertinence de sa propre mission au sein d’un groupe en perpétuelle transformation. De ce jeu de rôles et de places, les codes d’une coopération se révèlent progressivement ouvrant la voie vers l’objectif universel certainement le plus jubilatoire : danser ensemble envers et contre tout.
Avec In Situ, Jann Gallois pousse les murs et s’infiltre dans la ville pour nous offrir un moment hors de notre quotidien, une danse qui s’installe sous forme de jeu et défie les contraintes. Comment partager la danse ? Comment associer le public, le large public, à des situations de danse ? Pour beaucoup c’est impossible, la danse supposerait une grande technicité, et ne serait pas à la portée de tout un chacun·ne. C’est à cette problématique que Jann Gallois a voulu se confronter. Avec cette première pièce de la compagnie pour l’espace public, Jann Gallois descend du plateau pour interroger la question de la place et du rôle. Tour à tour manipulateurs/manipulatrices, chacun·e expérimente et questionne la justesse et la pertinence de sa propre mission au sein d’un groupe en perpétuelle transformation. De ce jeu de rôles et de places, les codes d’une coopération se révèlent progressivement ouvrant la voie vers l’objectif universel certainement le plus jubilatoire : danser ensemble envers et contre tout.
Raconter une histoire ponctuée d’expériences scientifiques : tel est le pari fou qui réunit la compagnie Des petits pas dans les grands et Les petits débrouillards.
Lorsqu’un petit garçon, Olivier, dit Ollie, qui a peur de l’eau, rencontre sa grand-mère, Mamie Olive, ils se racontent des histoires de petit garçon et de grand-mère. Jusqu’à ce qu’Ollie découvre que Mamie Olive, elle, ne craint pas du tout l’eau, puisqu’elle va tous les jours à la piscine ! Et mieux encore, elle lui apprend qu’elle a été championne olympique de natation aux J.O. de Londres en 1948… Une sacrée nouvelle pour ce petit garçon, pour qui il est absolument hors de question d’apprendre à nager ! Même pas en rêve ! Le spectacle raconte comment la grand-mère va aider Ollie à surmonter sa peur de l’eau, comment elle va patiemment lui faire comprendre que s’il se jette à l’eau, il ne va pas forcément couler à pic… Et au fait, comment ça marche, la flottaison ? C’est là l’originalité de cette proposition : réalisée avec la collaboration des Petits Débrouillards, elle associe la force de la fiction à une réflexion scientifique, allie l’écoute de la narration à la participation active d’enfants autour d’ateliers.
La légende mozartienne, a fait du Requiem une œuvre testamentaire… Tout comme Don Giovanni semble s’inscrire dans le sillage de la mort de Léopold, le père de Wolfgang. La mise en perspective des faits et des œuvres nous entraîne dans un jeu de miroirs fascinant, entre fantasme et réalité. Ainsi s’ouvrent des brèches qui nous aident à plonger au cœur du processus créateur et éclairent de feux nouveaux « l’homme-compositeur Mozart » et deux de ses immenses chefs-d’œuvre…
Le programme proposé par Les Siècles présente trois grandes figures de la musique française, incarnant trois faces différentes et pourtant reliées entre elles. Considéré aujourd’hui comme l’un des maîtres incontestés de l’Ars gallica de son temps, Ravel est le benjamin des trois. Il s’est appuyé sur l’héritage des deux autres : Chabrier dont la musique profondément originale et colorée lui a ouvert les voies d’un anticonformisme salvateur ; et Massenet dont l’écriture incarnera celle du grand style français du moment, style que Ravel aura à cœur de prolonger et de dépasser.