Un quatuor danse/musique/lumière proposé par Magda Kachouche, jeune chorégraphe accompagnée par le Théâtre du Beauvaisis, pour une fête où vont se mélanger rires et larmes, dans une célébration dionysiaque de la joie d’être au monde. La rose de Jéricho est une plante
du désert, dite immortelle. Elle peut subsister des années à demi-morte, desséchée, inerte. Dès lors que la pluie tombe ou qu’on l’arrose, elle reprend vie. Dans La rose de Jéricho, on croit aux fantômes et à leurs visitations espiègles. On croit en la vibration de leurs présences dans nos corps
et nos psychés, à leurs possibles réanimations. C’est une histoire de glissement, de mutation, d’un corps à l’autre, du passé vers le futur, du futur vers le passé. Une célébration de nos héritages, et de ce qui nous rassemble. La rose de Jéricho est un bal-concert, une cérémonie punk et colorée pendant laquelle on s’offre une fête avec les vivants et les morts, les visibles et les invisibles. On y pleure, on y rit, on y danse…